La commémoration du 125e anniversaire du premier congrès sioniste à Bâle, qui aura lieu les 28 et 29 août 2022 nécessite de forts moyens de sécurité.
Qui va en assumer les coûts ?
Le·la citoyen·ne suisse, selon les informations du Conseil fédéral.
Mentionnons encore que notre Président va recevoir à cette occasion le Président de l’État d’Israël, Isaac Herzog.
Gageons que l’ordre du jour sera :
- Fin de l’apartheid en Israël
- Respect des frontières de la ligne verte et démantèlement des colonies en Cisjordanie
- Levée du blocus de Gaza
- Enquêtes indépendantes sur tous les crimes de guerre commis par Tsahal
- L’arrêt de la détention administrative, surtout de personnes mineures
- L’arrêt de destruction de maisons, de vergers, de cultures, etc
- …
et la liste peut s’allonger
Mais ne rêvons pas, d’autres contrats semblent plus importants
On peut voir aussi l’événement d’une autre manière.
Qu’est ce que ce congrès a concrètement amené ?
La création d’un État juif en Palestine, où d’autres gens vivaient. Cela s’appelle de la colonisation.
Cet État ne respecte pas les conventions de l’ONU et on pourrait ainsi qualifier cet État d’État voyou.
Et si un État collabore avec un État voyou, comment doit-on le qualifier ?
Et si cet État est une démocratie, comment qualifier ses citoyen·ne·s ? Collabos ?