Motion populaire

adressée au Conseil général de La Chaux-de-Fonds, demandant que M. Philippe Lazzarini soit nommé citoyen d’honneur de la ville.

Suite au vote du Conseil général (lire ci-dessous), Mme Leitenberg s’est permis des propos injurieux et diffamant sur sa page facebook (on vous laisse aller voir si vous êtes sur ce réseau social).
De plus, l’article paru dans Arcinfo du mercredi 26 février ne donnait la parole qu’à Mme Leitenberg.

Le CAP s’est senti obligé de réagir afin de ne pas laisser propager des idées fausses sur son compte et sur ses intentions.

Nous publions ici le communiqué de presse que nous avons envoyé à plusieurs journaux: Le Courrier, Arcinfo (qui a refusé de le publier), Le Temps et Canalalpha.

Lors de la séance, il a été fait mention de document partial et non objectif qui aurait été mis dans les boîtes aux lettres par un collectif d’extrême politisé (BL)
Les documents en questions sont les suivants:

On vous laisse juge !

Selon un courrier du Conseil communal de La Chaux-de-Fonds, notre motion est recevable et sera mise à l’ordre du jour du Conseil général du jeudi 20 février 2025.

Qu’on se le dise.

La motion a été déposée à la chancellerie de La Chaux-de-Fonds, munie de 114 signatures, le 7 janvier 2025


Nommer Monsieur Philippe Lazzarini, natif de notre ville, citoyen d’honneur de La Chaux-de-Fonds

Au vu de l’importance du rôle joué par Monsieur Philippe Lazzarini, commissaire général de l’UNRWA*, pour maintenir l’aide humanitaire à Gaza et dans les territoires occupés par Israël, ainsi que dans les camps de réfugié·e·s palestinien·ne·s situés au Liban, en Jordanie, et en Syrie,

au vu des efforts faits par Monsieur Philippe Lazzarini pour que soient respectées les Conventions Internationales Humanitaires, dont la Suisse est dépositaire,

au vu des efforts fait par Monsieur Philippe Lazzarini pour assurer le financement de l’UNRWA.

nous demandons que Monsieur Philippe Lazzarini soit nommé citoyen d’honneur de la ville de La Chaux-de-Fonds.

Les valeurs défendues et le travail effectué par Monsieur Philippe Lazzarini sont un honneur pour notre ville, qui a tout lieu d’être fière d’avoir hébergé un tel citoyen courageux et engagé pour la paix.

Au même titre que l’engagement dans les brigades internationales a été reconnu par la nomination d’une place dans notre ville, l’engagement d’un natif de La Chaux-de-Fonds pour des valeurs humanitaires et de paix se doit d’être également honoré.

« Plus rien ne fonctionne, mais la vie reprend lentement » :

Ziad Medoukh, enseignant et poète gazaoui, revient sur les conditions de vie des Palestiniens alors que le cessez-le-feu est toujours en vigueur. Il évoque la prise de conscience de la nouvelle génération. En restant et en refusant de partir, ils disent non à la volonté de nettoyage ethnique de Trump et Netanyahou.

Lire l’article

Agenda

https://lecinematographe.ch/film/73f01804-234b-45f6-b5c3-644d9818ec57

Organisateur: Association Travelling Palestine

https://renverse.co/infos-locales/article/25-01-25-grande-manifestation-solidarite-internationale-avec-la-palestine-5267

https://palestine-fce.ch/hors-festival/gaza-lart-comme-poumon

Comme un signe de vie sous les décombres, un poumon qui se gonfle malgré le poids des gravats, les dessins des artistes du collectif ElTiqa sont des témoignages vibrants élaborés à Gaza depuis octobre 2023. Une exposition et des événements en écho à l’exposition « Patrimoine en péril », entre passé et présent, pour approfondir la réflexion sur la vocation de l’Art et de l’Archéologie dans nos sociétés.

https://blackmovie.ch/2025/fr/gaza.php

Kegham Djeghalian Senior a immortalisé Gaza. Photographe et rescapé du génocide arménien, il fonde en 1944 le premier studio commercial de la ville : Photo Kegham. Aujourd’hui, son petit-fils, Kegham Djeghalian Junior, exhume cet héritage. Un récit visuel où chaque image porte la mémoire d’une ville, d’une famille et d’un peuple.

Ziad encerclé au nord de Gaza

Horribles nouvelles de Ziad Medoukh, qui se trouve à 3-4 km du camp de réfugiés de Jabalia au nord de Gaza: Il est coincé avec environ 150 personnes et ne peut plus sortir de cet endroit. Le nord est complètement isolé du sud. L’armée de l’occupation bombarde et rase tout en avançant de manière à ce que les habitants n’aient plus de lieu où retourner. Et comme les gens sur place sont encerclés (les tanks sont à 2-3 km), ils ne peuvent plus guère se sauver ailleurs. Ziad va mal. Épuisé. Affamé. Il a très peur.

Le génocide continue. En toute impunité…